L’ikigai est un concept venant du Japon qui fut transposé dans notre mode de fonctionnement européen. Trouver son ikigai revient à comprendre quelle est sa raison d’être, à s’accomplir pleinement et à réaliser ses propres aspirations.
C’est un cheminement qui ne se fait pas de lui-même, il faut de la patience et de la méthode. Cette pensée peut s’utiliser dans votre vie personnelle, afin de découvrir le sens de votre existence, mais aussi pour une reconversion professionnelle réussie.
Je vous explique tout dans cet article, de sa définition en passant par les étapes indispensables à appliquer pour enfin découvrir votre ikigai.
Ikigai : comment vivre de ce qui nous passionne ?
Définition de l’ikigai
Un peu d’histoire
Afin de commencer ce voyage vers votre épanouissement dans tous les domaines de votre existence, je vous propose une définition de ce mot venu d’ailleurs, aux sonorités asiatiques. Oui, vous l’aurez compris, ikigai est un terme japonais !
Si nous devions le décomposer : « iki » désigne la vie et « gai » signifie la valeur.
Plus littéralement, nous pourrions le traduire par : « ce qui fait la valeur de la vie » ou « sa raison d’être ».
On associe souvent le terme à la période Heian (794 à 1185), mais nous n’avons pas plus de précisions à ce sujet. Au-delà du mot, ikigai est un concept et plus précisément une philosophie de vie japonaise. Elle s’apparente au pouvoir de la patience et de la persévérance. Nous le voyons très bien, les Japonais se surpassent, jusqu’à devenir des « héros » dans leur domaine.
Il n’est pas nécessaire d’avoir un talent inné, des objectifs simples suffisent !
C’est précisément ce que nous avons pu remarquer pour les habitants de l’île d’Okinawa, un archipel de 101 îles au large du Japon. Il a été observé qu’à Ogimi (village au nord de l’île), les insulaires vivaient plus longtemps et en meilleure santé que le reste de la population mondiale. Cet archipel fait d’ailleurs partie des cinq zones bleues mondiales où l’on a constaté des records de longévité. En se penchant plus particulièrement sur les caractéristiques de ce phénomène, Dan Buettner (auteur et explorateur américain) a révélé au grand jour le secret de cette capacité.
Il s’avère que les habitants de l’île possèdent tous un ikigai, une raison d’être qui leur donne envie de se lever chaque matin avec enthousiasme.
Malgré leur âge avancé et bien au-delà de leurs 100 ans, ils sont tous actifs. En effet, leur activité fait partie prenante de leur ikigai. Dans cette contrée, la notion de retraite n’existe pas (contrairement à notre monde occidental où nous nous battons sans relâche pour y accéder le plus tôt possible 😀).
La question fondamentale est : pourquoi cesser de faire une activité qui nous plaît ?
Pour les Okinawaïens, continuer d’être dynamiques et réaliser quotidiennement des activités, procure du plaisir et contribue également à la vie de tous. Les centenaires de l’île illustrent parfaitement cette phrase de Confucius :
« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie ».
Pour aller plus loin
En 2014, Marc Winn réalise une adaptation du fameux diagramme de Venn, pour notre monde occidental. Cet ajustement a connu un réel succès et sert désormais de référence à la méthode ikigai européenne.
Plus précisément, cette pensée de vie implique de réunir tout ce qui a de la valeur pour vous, au croisement de ces 4 aspects :
🌼 faire et être exactement dans ce que l’on aime ;
🌼 utiliser ses talents naturels et ses compétences ;
🌼 contribuer à apporter au monde ce dont il a besoin ;
🌼 être récompensé pour tout cela.
Alors oui, ne soyez pas étonné, je parle de récompense.
C’est ici que se trouve la différence avec le concept japonais. La notion « ce pour quoi vous pouvez être payé » est à destination de notre monde européen. Cette conception qui permettrait de vivre heureux plus longtemps et en bonne santé a tellement intéressé de gens que certains ont eu l’idée de transposer ce concept sur le plan professionnel. En effet, beaucoup de coachs utilisent désormais ces éléments afin d’aider les autres à se réorienter, à trouver une nouvelle voie professionnelle dans laquelle s’épanouir pleinement. Le pas à franchir n’était pas loin pour faire de l’ikigaï un outil d’aide à la reconversion.
Et c’est ainsi que l’ikigaï a été traduit par :« comment trouver un métier qui réunit argent, passion et mission ? ».
Mais ce que je souhaite vous amener au travers de cet article va au-delà de la reconversion professionnelle.
Si, comme moi, vous cherchez une voie plus épanouissante et non pas seulement un autre job ; mais aussi à dénicher une véritable vocation, une passion qui vous fait vivre et vibrer alors, vous êtes peut-être dans la quête de votre activité idéale. Celle qui certes sera rémunératrice, mais surtout celle qui vous permettra de prendre du plaisir à travailler.
Celle qui contribuera dans votre quotidien à quelque chose de plus grand que vous et qui vous permettra d’exploiter pleinement votre potentiel, y compris celui dont vous n’avez pas encore conscience !
Découvrir ce qui se trouve à l’intersection de tous ces éléments (voir le schéma), votre ikigai, vous amènera sans aucun doute sur votre chemin, votre mission de vie. Il donnera du sens à votre existence et vous trouverez l’alignement parfait pour une destinée plus équilibrée et épanouie. Vous serez en phase avec vous-même et atteindrez votre accomplissement personnel tant recherché.
Découvrir votre voie et votre raison d’être permet de savoir ce qui vous correspond et si vous vous trouvez sur le bon chemin avec les bonnes personnes qui vous entourent. J’aime cette image de la boussole : celle-ci représente notre ikigai et elle a la faculté de toujours nous indiquer la direction à prendre, quelles que soient les embûches hissées devant nous.
Les 4 étapes à suivre pour trouver son ikigai
1- Ce qui vous passionne
Vous avez déjà certainement dû remarquer comme le temps peut s’étirer en longueur lorsque la tâche que vous avez à faire vous ennuie au plus haut point et que vous n’y prenez aucun plaisir. Vous regardez sans cesse votre montre jusqu’au moment de la libération.
Pour tout vous dire, cela m’est arrivé fréquemment dans mon premier métier ! Quand j’assistais à des réunions où je ne faisais que recevoir l’information sans aucun échange ou que je participais à des formations que je n’avais pas choisies.
A contrario, le temps passe tellement vite lorsque nous faisons une activité que nous aimons ou lorsque nous sommes avec quelqu’un que nous apprécions ! Je suis sûre que vous voyez où je veux en venir ! C’est exactement dans ces moments-là que vous devez vous focaliser dans cette première étape afin de découvrir ce qui vous met en joie.
Pour commencer, vous devez vous intéresser à ce que vous aimez faire. Faites vraiment le tour et bannissez la censure. Notez, selon vous, les choses les plus importantes comme les plus insignifiantes.
Afin de vous guider, voici une liste des choses que vous pouvez compléter :
-
- ce que vous aimez faire ;
- ce que vous aimez être ;
- les tâches que vous appréciez de faire dans votre travail ;
- ce que vous adorez faire à la maison,
- ce qui vous rend heureux le week-end, en vacances ;
- ce qui vous plaît dans vos relations ;
- les loisirs que vous préférez ;
- vos jeux favoris quand vous étiez enfant…
Ne craignez pas de rédiger tout ce qui vous vient à l’esprit !
2- Les aptitudes dont vous êtes doté
Si vous êtes à la recherche d’un nouveau projet professionnel, vous êtes peut-être passée par la phase bilan de compétences. C’est en effet ce type de formation que proposent les services RH pour les employés qui ne se sentent plus à leur place dans leur métier d’origine et qui souhaitent se reconvertir. Cette mise au point amène à mettre en évidence les savoir-faire acquis et qui sont transposables vers d’autres professions.
Le but ici est également de mettre en avant votre personnalité et de révéler vos qualités, vos modes de fonctionnement, vos forces afin de trouver votre voie. Il est important de noter que les compétences vont concerner plutôt le domaine de l’acquisition, alors que vous pouvez bénéficier de talents qui seront eux plus naturels !
Que vous ayez déjà fait ou pas cette clarification professionnelle, je vous propose pour cette deuxième étape de répondre à différentes questions en alternant les mots « compétences », « talents » et « aptitudes » :
-
- Quelles compétences utilisez-vous dans votre travail ?
- Quelles sont les compétences que vous employez dans vos loisirs ? (Par exemple : « je sais très bien organiser les événements »)
- Quelles compétences exercez-vous dans vos relations sociales ? (Autre exemple : « Je sais communiquer »)
- De quoi êtes-vous capable ?
- Qu’est-ce que vous savez faire le mieux ?
- Quelles sont vos plus grandes qualités ?
- Faites ensuite une distinction entre vos niveaux d’aptitude : moyen, bon, élevé…
Sachez que vos qualités font également partie de vos dons.
Donc, ne négligez pas ce qui vous semble petit ou évident. Bien souvent, on ne se rend pas compte des particularités et des aptitudes qui sont les plus évidentes.
Il peut aussi arriver que vous disposiez de capacités ou de talents sans aimer les exercer. Notez-les quand même, nous aborderons le sujet à la dernière étape.
3- Ce dont l’univers a besoin
Vous avez maintenant exploré tout ce que vous aimez et ce pourquoi vous êtes doué. Il est maintenant temps de vous focaliser sur les besoins de notre monde.
Il se peut que vous vous sentiez « inutile » et que vous ayez la sensation d’une vie sans sens et sans but à atteindre. Cette étape va grandement vous aider. Vous allez découvrir quelle est votre contribution à l’univers.
Je prends de l’avance, je sais que vous allez me demander : mais comment trouver ce dont le monde a besoin !
La clé est ici : demandez-vous ce qui a du sens pour vous.
Quels sont vos valeurs, vos combats ?
Dans quels domaines souhaitez-vous déployer votre passion et votre énergie ?
Chacun a envie de s’engager dans une cause qui lui est propre ! Cela peut être la défense des animaux, la lutte contre le réchauffement climatique…
Pour ma part, il s’agit de l’émancipation et de l’empowerment des femmes. Les aider à acquérir la capacité d’user totalement de leurs droits, à s’affranchir de leurs dépendances sociales, morales ou intellectuelles et à utiliser pleinement leur potentiel.
Je vous rassure, nul n’a besoin de sauver le monde. Chacun sa part, à son niveau ! Pour cette étape, je vous invite à vous poser les questions suivantes :
-
- Quelles sont vos valeurs, celles auxquelles vous ne voulez pas déroger et qu’il est important pour vous de défendre ?
- Qu’est-ce qui vous émeut, vous met en colère, provoque chez vous un sentiment de rébellion ?
- Qui avez-vous envie d’aider ?
- Comment pouvez-vous servir les autres ?
Dressez une liste de vos réponses et ne cherchez pas à y trouver du sens.
Vous allez sûrement découvrir qu’aucune de ces informations recueillies ne correspond tout à fait à ce que vous faites au quotidien au travail ou dans votre vie personnelle. C’est ici que se trouvent les raisons qui font que vous n’êtes peut-être pas épanouie. Rassurez-vous, vous êtes sur la bonne voie !
À ce stade, vous pouvez commencer à vous demander quelles actions vous pourriez mettre en place dans votre vie de tous les jours afin d’être davantage en correspondance avec ce qui s’est révélé être important pour vous.
4- Ce pour quoi vous souhaitez être rémunéré
Comme nous avons pu le voir, cette partie est souvent rédigée sous la forme « ce pour quoi vous pouvez être payé ». Si certains d’entre vous sont à la recherche d’une reconversion professionnelle, d’autres souhaitent simplement une vie plus gratifiante. Dans ce cas-là, vous pouvez très bien modifier les termes de cette étape en : « ce pour quoi vous souhaiteriez être reconnue ».
La rémunération est une forme de reconnaissance, mais ce n’est pas la seule. Une bénévole dans une association pourra se sentir récompensée grâce à un bouquet de fleurs ou à un article dans le journal par exemple. Ou encore, la visite surprise de ses arrière-petits-enfants fera rosir les joues de la grand-mère qui se sentira pleinement appréciée à ce moment-là.
Nous possédons tous une vision différente ! Il est maintenant temps de passer à l’action, voici les questions que vous devez vous poser :
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- Quelles sont les tâches que vous faites aujourd’hui dans votre métier et ce pour quoi vous êtes actuellement payée ? Pour vous donner un exemple, lorsque j’ai travaillé sur mon ikigai, j’étais alors encore dans mon premier métier d’architecte cheffe de projet. J’étais rémunéré pour : conseiller, former, diriger, écouter, traduire les besoins, apporter des solutions, créer, transmettre des informations… Vous pouvez comme moi, utiliser des verbes pour dresser votre liste.
-
- Quelles sont les tâches pour lesquelles vous n’êtes pas payée aujourd’hui, mais pourriez l’être ? Il peut s’agir par exemple de conseiller (vous prodiguez tellement de conseils autour de vous gratuitement), mais aussi de peindre, de coudre, de tenir les comptes, de décorer, de ranger, de donner des cours…
Analysez bien ce que vous faites déjà gratuitement : ce sont des choses pour lesquelles d’autres personnes peuvent se faire payer.
L’ultime cheminement
La clé de la réussite pour trouver son ikigai
🥳 Toutes mes félicitations, vous avez fait le plus gros du travail. Vous vous trouvez désormais à la fin de cette aventure.
La dernière étape, et non pas la moindre, consiste à croiser tous les mots de vos 4 listes afin d’en dégager une idée. Voici donc mes conseils :
Regroupez les zones entre elles
si vous regardez de nouveau le schéma de l’ikigai, vous verrez quels sont les éléments qui se rassemblent et dans quels endroits. Vous pouvez donc commencer par faire de même, et ce dans l’ordre indiqué !
Tournez-vous ensuite vers votre mission : le croisement entre ce que vous aimez et ce dont l’univers a besoin.
Si vous avez réussi à trouver cette zone, je vous conseille d’y intégrer vos talents ainsi que vos compétences. Si des aptitudes vous manquent, n’hésitez pas à les acquérir.
Après la mission, il y a la vocation : l’intersection entre ce pour quoi vous êtes payé et ce dont l’univers a besoin.
Vient enfin la profession. Il s’agit de l’embranchement entre ce que vous êtes payée pour faire et ce pourquoi vous êtes douée. Il se peut que cette zone manque de sens et de plaisir ! Dans ce cas, demandez-vous ce que vous pouvez y ajouter pour y remédier.
La voie royale
La voie qu’il faut le plus retenir pour votre accomplissement est celle située entre votre génie et entre votre mission.
Si vous trouvez ce qui réunit passion et mission, bravo, vous faites ce que vous aimez, ce pourquoi vous êtes doué et en pus cela a du sens ! Vous êtes sur la bonne voie.
Déterminez ensuite de quelles récompenses vous avez besoin pour vous sentir pleinement épanouie, dans votre raison d’être.
Vous n’êtes pas obligé de le trouver tout de suite ! Vous pouvez commencer sans attendre de rémunération ou simplement à temps partiel.
Mais si ça ne paye pas suffisamment, que cela dure, vous pouvez vous trouver dans une situation de précarité. C’est d’ailleurs souvent ce qui fait peur quand on décide de se réorienter. On nous répète sans cesse de faire ce que l’on aime, mais si nous n’arrivons pas à nous sortir un salaire ?
Le tout est de chercher un moyen d’avoir un revenu grâce à cela. Eh oui, trouver son ikigai n’est pas si simple !
Je peux vous conseiller de partir à la recherche de personnes qui semblent avoir la même passion, mission que vous et qui ont réussi à développer une activité rémunératrice. Cela pourra peut-être vous inspirer !Il
Il ne vous reste plus qu’à trouver de quelle façon vous pouvez être rémunéré pour vous sentir pleinement dans votre ikigai.
Les écueils récurrents pouvant se mettre sur votre voie
Lors de cette dernière étape, il se peut que vous tombiez sur des difficultés. Afin de vous guider et de vous aider, je vais vous énumérer les obstacles que vous pourrez rencontrer dans les différentes zones de votre diagramme :
La vocation et la mission : vous faites ce que vous aimez, vous êtes rémunéré dans un domaine qui rend service au monde, mais vous éprouvez des difficultés pour effectuer vos tâches, car vous manquez de compétences. Pas de panique, prenez le temps de les acquérir !
Profession et vocation : vous vous trouvez dans la situation où vous êtes douée dans votre métier et vous êtes bien rémunéré, mais vous n’y trouvez aucune passion. Pour ma part, cet exercice m’a permis de me rendre compte que c’était exactement ce que j’étais en train de vivre. Je ne pouvais pas continuer sur cette voie. Je me suis alors demandé : « qu’est-ce qui m’apporterait de la passion dans ce métier ? », « Et si je ne trouve pas de réponse, cela veut dire que je dois changer de métier ? ».
Vous l’aurez compris, trouver son ikigai n’est pas chose facile, mais une fois que vous aurez mis la main dessus vous vous sentirez plus accomplie, plus heureuse et alignée avec vos valeurs.
Partir à sa recherche c’est comme un peu le principe de l’épluchage de l’oignon : couche après couche, vous allez vous en approcher. Maintenant que j’ai découvert ma véritable mission, je m’emploie à l’incarner jour après jour, car je sais que c’est ma place. Plus j’aide les femmes à se rapprocher de leur ikigai, plus je participe à un monde meilleur, plus nous serons nombreuses à incarner notre mission, à cheminer, et plus d’opportunités se créeront.
Vous venez de voir quelle était cette fabuleuse philosophie de vie et comment vous en approcher.
Trouver son ikigai prend du temps, mais si vous en avez saisi l’essence et que vous commencez à vous interroger sur vos aspirations de vie, le travail a déjà commencé pour vous.
Si vous avez besoin de plus de soutien ainsi que d’une aide personnalisée, je suis en train de finaliser un programme en ligne spécialement conçu pour vous aider à trouver le chemin de votre destinée. Inscrivez-vous en cliquant sur le bouton juste en dessous pour bénéficier des préventes et être prévenue de son lancement.
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Hello
J’ai souvent vu passer ce mot « ikagai » mais je pensais que c’était un truc de DIY. Merci pour l’éclairage🤣
En fait, c’est ce que je fais avec mon projet de création d’entreprise.
Merci pour cet article très intéressant !
Génial si tu as trouvé ton ikigai via ta création d’entreprise !
Super cet article qui tombe à pic car ce weekend quelqu’un m’a demandé si je connaissais l’Ikigai … et je dois avouer que j’étais bien en peine de lui donner des explications précises, même si j’en connais les fondements … donc je lui ai transféré cet article en lui recommandant d le lire attentivement 😉
Génial ! merci à toi, la vidéo va bientôt arriver…
J’adore cette phrase « Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie ». Elle résume tellement bien le sujet !
Tu as raison, j’ai souvent recours à cette phrase 😁
Cet article est super complet, ça fait toujours du bien de revoir toutes ces bases, merci! D’ailleurs, c’est comique comme tu l’abordes en terme de « couche ». Je l’avais moi-même abordé en terme d’étages, en commençant par les fondations, pour faire le point. Je pense réellement que l’ikigai est à la fois un superbe concept que l’on peut utiliser comme outil pour reprendre les rennes de sa vie et nous diriger sur la voie qui nous correspond et, à la fois, quelque chose qui évolue avec nous tout au long de notre vie.
Merci pour ton retour, les fondations, ça me parle aussi avec mon premier métier d’architecte 😂 j’aime assez le côté holistique représenté par le (s) cercle(s) de l’ikigai 🥰
J’adore vraiment ce principe ! il n’est pas facile à mettre en œuvre mais si on y arrive ca doit être » royale » ! 😉
J’espère un jour y arriver !
oui, ce principe est puissant.
Pas facile à mettre en oeuvre, et c’est aussi pour ça que je bâtis un programme en ligne pour accompagner les personnes que cela intéresse et qui n’y sont pas arrivées seules 😁
Merci Caroline pour cet article hyper complet ! il me reste surtout l’étape 4 à vivre : la rémunération 🙂 Je suis aussi en train de construire ma profession donc les 2 se font en parallèle…mais il me tarde. J’adore les schémas récapitulatifs comme celui-ci, qui sont très visuels.
Merci pour ton retour, oui, l’étape 4 est souvent la plus difficile et celle qui fait le plus peur. Mais le tout c’est de commencer et de se construire un plan si tu souhaites en dégager une activité suffisamment rémunératrice, et d’être persévérante 😊