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Caroline Drouart

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Kilos émotionnels : pourquoi vous ne perdez pas de poids

par | Nutrition, Prendre soin de soi | 8 commentaires

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La notion de kilos émotionnels est récente pour moi. Mais la lecture de cette expression a fait tilt en moi et m’a permis de comprendre…

J’ai accompagné de nombreuses personnes dans leur désir de perdre du poids (des personnes qui souhaitaient en prendre aussi, mais très peu bizarrement).

La première étape de cet accompagnement était un diagnostic de leur mode de vie et de leur comportement alimentaire. Ensuite, je leur proposais des modifications dans leur façon de manger, certains types d’aliments à privilégier, des horaires et compositions de repas pour mieux équilibrer leur alimentation. De nombreuses personnes sont parvenues à atteindre leur objectif de poids, d’autres étaient enchantées de se retrouver plus en forme, d’avoir surtout perdu du « volume », d’avoir retrouvé une énergie qui leur faisait défaut.

Et puis avec quelques-unes… rien… Quelques centaines de grammes ou de tout petits kilos éliminés, mais rien de satisfaisant pour elles. Nous avons à ce moment-là repris ensemble la méthode, checké les comportements, les quelques entorses… J’ai remis dans le chemin celles qui s’écartaient un peu trop… Mais au final, ces quelques personnes ont préféré laisser tomber leur rééquilibrage, argumentant un manque de motivation et parfois une méthode qui ne fonctionnait pas pour elles.

Cela a fait naître en moi un fort sentiment d’impuissance : je n’avais pas été capable de les aider, de les accompagner jusqu’au bout de leur objectif. De leur côté, elles sont restées avec ce sentiment d‘insatisfaction d’elles-mêmes, d’auto-dépréciation, peut-être renforçant leur mauvaise estime d’elles, et peut-être me rejetant la faute.

Après quelques années de recul et d’accompagnement de personnes, je me suis rendu compte que le désir de perdre du poids devait être fort et réel. J’ai ainsi adapté ma méthode : lors du premier entretien, je me suis mise à vérifier avec les personnes qui me contactaient leur désir réel. Qu’avaient-elles déjà entrepris ? Depuis quand elles avaient ces « kilos en trop » ? Un point sur leur état d’esprit et leur environnement familial et professionnel était impératif. Il me semblait important de connaître ces informations au préalable, mais aussi qu’elles en prennent conscience.
Pour savoir si j’allais les accepter comme clientes ou si j’allais leur demander de faire un autre travail préalable…

Et bien sûr, les femmes sont plus touchées que les hommes : lorsqu’elles vont mal, elles prennent sur elles, elles somatisent, elles engrangent… et gardent leurs kilos !

Et les femmes représentent 90 % de ma clientèle en accompagnement nutrition.

Parce que vouloir perdre du poids, c’est vouloir modifier son enveloppe corporelle, travailler sur son « enveloppe extérieure », ce qui se voit. Or, ce travail sur l’extérieur doit souvent s’accompagner d’un travail sur soi, un travail de l’intérieur pour déceler les « blocages » qui peuvent empêcher d’éliminer ces kilos qui s’accrochent : les kilos émotionnels.

visuel kilos émotionnels

 

 

 

Les facteurs de la prise de poids

 

Selon le Dr Stéphane Clerget*, les kilos émotionnels sont des kilos acquis, des prises ou des pertes de poids provoquées par des raisons émotionnelles récentes ou inscrites plus profondément en nous, remontant parfois à notre enfance.

Dire que tous les kilos supplémentaires sont dus aux émotions serait erroné. D’autres facteurs entrent en jeu, des facteurs physiologiques, mais aussi des événements de la vie, eux-mêmes chargés d’émotions.

La vie est une succession de périodes dans la vie des femmes qui peuvent être propices à la prise de poids.

 

Une vie de femme

 

Lors de l’adolescence, les hormones fluctuent dans le corps, les jeunes femmes doivent faire face à un tas de bouleversements physiques et intérieurs. Le rapport au corps change. Beaucoup de troubles du comportement alimentaire prennent d’ailleurs naissance à cette période.

Lors de la grossesse, le corps de la femme grossit naturellement. Mais ces kilos additionnels ne sont pas dus qu’à la présence de l’enfant à venir. Nombreuses sont les femmes (j’en ai fait partie) qui ne perdent pas ces kilos après l’accouchement. Car à l’intérieur d’elles, un changement radical a eu lieu : elles sont devenues mères. Est-ce que l’image de la mère est associée à la grosseur ?
Dans les premières années d’une vie de mère, difficile de lever la tête et de penser à soi en tant que femme, d’autant plus si on a des enfants rapprochés, avec des grossesses consécutives. Et garder ses kilos de grossesse reviendrait, inconsciemment, à renoncer à sa vie de femme, comme si on ne pouvait pas être mère et femme en même temps.

La période de la préménopause est aussi une période émotionnellement chargée, et où les hormones ont un impact important : une forte quantité d’œstrogènes et un manque de progestérone, typiques de cette période, entraînent souvent un surpoids au niveau des hanches et des cuisses.

 

Une association émotionnelle dès l’enfance

 

Dès la naissance, le moment du repas est chargé d’affects : que bébé soit allaité ou nourri au biberon, le moment de la tétée est un instant de pure satisfaction. Je me rappelle de ces sourires d’extase que mes enfants arboraient après leur tétée, les yeux fermés, un large sourire aux lèvres, repus. Le lait était là directement associé au plaisir et à l’apaisement.

La nourriture a déjà un rôle d’autosatisfaction.

Pendant l’enfance, notre éducation alimentaire et notre histoire nous ont programmées.
La nourriture intervenait peut-être comme système de récompense :

« Tu as bien travaillé, tu as droit à un bonbon. »

 La sucrerie est devenue récompense parfois en consolation de nos frustrations.

Et combien de fois avez-vous entendu des injonctions du style « Tais-toi et mange«  ?

 kilos émotionnels : femme avec un bol de bonbons

 

 

Les émotions peuvent-elles amener à prendre du poids ?

 

Les émotions poussent à manger davantage ou à manger un certain type d’aliments, souvent sucré ou gras.

Parlons des émotions négatives : la colère, l’envie, la tristesse, l’anxiété …

Il peut arriver lorsque vous éprouvez une de ces émotions une forte envie de manger. C’est une forme de réaction à ces émotions : les « étouffer » par la nourriture, éviter de penser. Et comme aujourd’hui la nourriture est très facile d’accès, elle est toujours là, on peut compter sur elle pour être présente et nous consoler. Le rappel à l’enfance n’est pas loin.

Il peut arriver également que des émotions positives génèrent des compulsions alimentaires ; vous êtes contente, vous fêtez ça avec un repas « très garni » ou vos mets préférés !

Les émotions peuvent aussi nous faire stocker, des graisses, alors que nous ne mangeons pas plus : ainsi certaines personnes voient leur poids augmenter alors qu’elles n’ont pas plus d’apports caloriques.

Les émotions sont souvent dues à des besoins insatisfaits, comme la reconnaissance, la sécurité, un manque de confiance en soi, un vide intérieur dû à une perte ou une absence. Elles sont source de conflits intérieurs auxquels le corps tente inconsciemment de faire face et s’adapter via une prise de poids.

 

D’où viennent les kilos émotionnels ?

 

Qu’est-ce qui se cache exactement derrière ces kilos émotionnels. Quelles sont  les causes exactes qui ont conduit à prendre ce poids ? Déterminer l’origine, la cause va permettre de se libérer d’un poids.

 

Manger pour éviter de penser

 

Une des causes que j’ai identifiées chez moi était l’ennui : dans mon ancienne activité, mon travail ne me passionnait plus. En début d’après-midi, j’avais toujours du mal à me re-concentrer et à me remettre au travail. Alors, je mangeais : au début des fruits frais ou fruits secs. Lorsque je n’en avais plus, je mangeais mes « biscottes » réservées en principe au repas du midi. M’apercevant de cette mauvaise habitude, j’ai décidé de supprimer les encas de mes tiroirs. Sauf, que lorsque l’envie irrépressible est là, je ne vous parle pas de la faim, mais de l’envie de manger, je n’arrive pas à lutter…

Et je me rue à l’étage du dessus où se trouve le distributeur automatique de friandises (encore pire pour mon corps que ce que j’avais dans mon tiroir).

Je sais pourtant que c’est gavé de sucres, de mauvais sucres, mais je ne peux pas m’en empêcher… Et pendant quelques instants, cette nourriture me fait du bien, elle libère les endorphines apaisantes, renforcées par la sérotonine dopée par le sucre.

On peut aussi manger pour se consoler d’émotions fortes, manger pour anesthésier la douleur des émotions qui font trop mal.

Manger évite de se confronter à ses émotions, à ses problèmes.

 

Manger pour plaire … Aux autres !

 

A qui ? Sa famille, son conjoint, sa mère… Inconsciemment, même si on a la volonté de perdre du poids, on agit à l’inverse, pour se conformer au désir de son conjoint qui nous aime telle que nous sommes ou qui n’apprécierait pas qu’on devienne « trop » mince, au risque de devenir « trop » séduisante aux yeux des autres.

Nombreuses sont les femmes qui, pour se conformer à la vision idéale de la femme, peut-être véhiculée par leur mère, passent leur vie à vouloir maîtriser leur corps. Elles vont de régime en régime et luttent contre leur corps pour se rapprocher de cette image idéale, sans toutefois y arriver. Ne pas arriver à maigrir peut être une manière de rester en opposition avec l’image maternelle.

 

Les kilos de famille

 

Toute votre famille est « ronde » : vous allez dépareiller si vous devenez mince ! Vos rondeurs valident votre appartenance à la lignée. Comment vous autoriser à maigrir dans ce cas ?

Le docteur Gérard Apfeldorfer, psychiatre spécialiste des troubles du comportement alimentaire décrypte ce type de comportement « mincir, c’est aussi rompre avec ceux qui nous aiment tel que nous sommes, et à qui on dit, en maigrissant, qu’ils ont tort de nous aimer ainsi, puisque nous-mêmes, on ne s’aime pas ». Il est l’auteur de Maigrir, c’est dans la tête.

Et puis en famille, le coup de fourchette est important : manger est un signe de bonne santé !
J’ai entendu tellement de fois dans les repas de famille : « Reprends-en ! Sers-toi , je t’ai fait ton plat préféré. Manges si tu aimes « . Refuser de manger, c’est refuser l’amour.

Et c’est comme ça qu’on se retrouve à finir l’assiette et à reprendre 2 fois du plat alors qu’on n’a plus faim. Histoire de ne pas trahir les coutumes familiales.

kilos émotionnels : rappel de l'enfance

 

 

Les kilos émotionnels / carapace

 

Les kilos peuvent aussi servir à se protéger. La peur d’être désirable peut être vécue comme un danger. Inconsciemment, certaines personnes vont utiliser ces kilos pour former une carapace, un bouclier, instaurant ainsi une distance avec l’Autre.
De la même manière, elles mettent leurs émotions à distance, notamment les émotions désagréables qu’elles préfèrent ne pas ressentir. Elles cachent ainsi leur sensibilité et évitent de se sentir rejetées ou qu’on s’en serve contre elles.

Ce type de surpoids prend souvent place au niveau de la taille, du ventre, dans une silhouette qualifiée « d’androïde ».

 

Garder pour soi

 

Les kilos peuvent aussi matérialiser tout ce que vous ne vous autorisez pas à dire, les non-dits. Aucune amélioration ne se fera sentir sur votre poids si vous n’arrivez pas à déverrouiller et à ouvrir la porte aux mots.

Verbaliser vos émotions et vos peurs vous aidera à vous en libérer, et à remonter à la source inconsciente du mal-être. Ce travail aide à restaurer l’estime de soi.

Admettons que les émotions participent à la prise de poids, mais maintenant que je le sais, qu’est ce que je fais avec ça ?

OK, arrêter les régimes qui ne servent à rien tant que je n’ai pas travaillé sur mes émotions. Mais comment se libérer de ces kilos émotionnels ?

 

 

Comment en finir avec les kilos émotionnels ?

La solution face à ces kilos superflus va être d’apprendre à se connaître. Connaître ses habitudes, ses comportements, et faire un travail sur soi.

Comprendre : trouver les clés pour ouvrir le cadenas et se libérer de la charge émotionnelle : le poids des émotions est un poids mort.

1. Arrêtez la guerre

En finir avec les régimes : il vous faut tout d’abord arrêter de maltraiter votre corps, de le soumettre à des diètes sans fin, régimes sans glucides, régimes hyper-protéinés, jeûne intermittent, chrono-nutrition, régime paléo… Se concentrer sur la perte de poids, et considérer comme une victoire une perte de poids de 100 g est vain. Votre métabolisme ne réagit plus. Et puis, les régimes ça marche quand on est actif, occupé, en guerre. Dès qu’on se relâche, et on finit par craquer : manger.

Donc faites la paix.

 

2. Privilégiez l’expression de vos émotions

Apprenez à différencier la faim physique de la faim émotionnelle.

À chaque fois que vous avez faim, ou plutôt envie de manger, prenez le temps de vous arrêter et de vous poser ces questions pour être à l’écoute de vos ressentis :

  • Qu’est-ce que je ressens ?
  • À quoi je pense ?

Travaillez en amont aussi : quels ont été les événements entourant votre prise de poids ?

Pour apprendre à repérer les émotions à l’origine des compulsions et commencer un travail sur chaque émotion, je vous conseille également de lire 3 clés pour accepter ses émotions et rebondir.

La tenue d’un journal pour noter vos émotions et vos compulsions alimentaires sera d’une grande utilité.

tenir un journal pour noter ses émotions

 

3. Faites-vous accompagner

Là, je ne vous conseille pas  de vous faire accompagner par un diététicien, mais par un psychologue.

Interroger votre passé pur comprendre les blocages est difficile seul, et le recul d’un thérapeute vous aide à mieux observer et à vous poser les bonnes questions.

Une fois les blocages désactivés, vous pourrez commencer votre programme de perte de poids. Pour réguler votre poids, il sera indispensable de combiner un programme physique avec votre programme alimentaire.

 

4. Limitez votre stress

Si le stress aigu participe plutôt à brûler des calories, le stress chronique est plutôt facilitateur en matière de prise de poids, car il induit la sécrétion de cortisol. Or, celui-ci a aussi pour effet d’augmenter l’appétit et le pancréas va surstocker les aliments sous forme de gras.

Donc limiter votre stress chronique aura des effets bénéfiques sur votre appétit.

Comment le limiter ? Différentes techniques existent, les plus connues sont la méditation, la sophrologie, le yoga. J’en ai testé de nombreuses, parfois inattendues, que vous pourrez retrouver ici.

Le sport et l’activité physique sont également de très bons régulateurs du stress.

Un travail sur soi participera également à trouver l’origine du stress et de là à le réduire.

 

5. Comblez le vide différemment

La nourriture vient parfois combler un vide. Certaines femmes éprouvent le besoin irrépressible de se remplir le ventre. À cause d’un vide existant, d’un vide d’après grossesse, d’un travail qui ne les comble pas, qui ne les nourrit pas suffisamment intellectuellement, spirituellement.

Et si vous remplaciez les aliments par une nourriture plus intellectuelle, plus spirituelle ? L’apprentissage d’un nouveau domaine, la découverte de nouvelles lectures, la participation à des conférences. Je pense notamment aux conférences TED, que l’on peut suivre en différé.

Dans les cas extrêmes comme le mien, cela peut aller jusqu’au changement de vie.

 

6. Réapprenez à manger

  • Revenir à des repas structurés, en famille, et ne pas manger entre les repas est le premier pas.
  • Des repas à table, où chacun participe à l’élaboration du repas, cuisiner et préparer ensemble, puis partager, pour un moment plaisir.
  • Prendre le temps de manger, de se rendre compte de ce que vous mangez, et mangez sans télé !

 

7. Trouvez un nouveau système de récompense

Une fois que vous avez identifié les causes à l’origine des émotions, trouver de nouvelles sources de plaisir, autres qu’alimentaires.

Se récompenser pour une bonne nouvelle, un objectif atteint, quelque chose à fêter peut passer par d’autres récompenses que l’alimentation : prendre soin de soi par un massage, une bonne lecture, une séance ciné… Soyez créative !

 

 

Se Libérer des kilos émotionnels : un acte de maturité

 

Vous avez du mal à perdre du poids, malgré votre volonté et toutes les techniques que vous avez essayées.

Les kilos s’accrochent désespérément ou reviennent…

Les kilos ne s’accumulent pas tous au même endroit chez chacune d’entre nous, nous n’avons pas la même morphologie. On parle de morpho-types, en lien direct avec des besoins à satisfaire ou des manques à combler…

Perdre du poids n’est pas une question de volonté ni de maîtrise. Une libération émotionnelle et une connaissance de soi constituent les clés pour libérer ces kilos. Trouver les sources à l’origine des blocages vous aidera à vous en libérer.

 

Êtes-vous intéressée pour connaître les morpho-types et les conflits qui se cachent derrière ?

Dites-moi dans les commentaires si cela vous intéresse.

Sources
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8 Commentaires

  1. NOUAILLER isabelle

    Très bel article et parlant de vérités Je m’y retrouve beaucoup
    Intéressée Caro par les morpho types

    Réponse
    • caroline

      Merci pour ton retour, c’est noté pour les morpho-types !

      Réponse
  2. Delphine

    Article très explicite qui résume parfaitement la vie actuelle d’être une femme. Chacune peut s’y retrouver.

    Réponse
    • caroline

      Merci, ça m’a beaucoup parlé lorsque je l’ai écrit aussi !

      Réponse
  3. céline Morizet

    merci pour l’article qui m’éclaire!

    Réponse
    • caroline

      je t’en prie 😊

      Réponse
  4. Déborah

    Merci pour cet article très complet Caroline. Effectivement, les kilos émotionnels sont complexes à identifier, à résoudre.. Il ne faut laisser aucune piste de côté. Et comme tu dis, en période de régime, on est en guerre, c’est pas le plus efficace pour perdre du poids…! Agir sur chaque élément (le stress, les schémas inconscients, les mauvaises habitude, combler les vides…) est indispensable, et la connaissance de soi comme tu le dis si bien, la meilleure des choses à explorer !

    Réponse
    • caroline

      Merci Déborah, sur la même longueur d’onde, comme souvent 😊

      Réponse

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Je suis Caroline Drouart, coach professionnelle experte en reconversion professionnelle des profils atypiques. Mon objectif : vous aider à mieux vous comprendre, à révéler votre potentiel et à trouver votre voie professionnelle en équilibrant votre vie pro et perso.
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