Se connaître soi même, est-ce possible ?
Qui n’a pas rêvé d’un coup de baguette magique qui aurait l’effet de nous révéler notre vraie personnalité, notre identité profonde ? Celle cachée d’arrière l’apparence, derrière l’image qu’on donne à voir aux autres.
Elle agirait comme un révélateur, nous dirait qui nous sommes vraiment, ce pour quoi nous sommes faits, ce que nous avons à apporter au monde…
Il est 16h30, jeudi, c’est mon tour pour la séance individuelle. Notre formatrice-coach me donne les résultats du test de personnalité que j’ai réalisé en ligne. Une heure plus tard, je sors de la salle, sous le choc.
Je comprends pourquoi les résultats sont donnés individuellement : pour rassurer et faire passer la pilule !
Pour moi, elle est difficile à avaler : je viens de découvrir que je suis…. introvertie 😱
C’est une grande et mauvaise surprise pour moi et je le vis de manière très violente.
Je n’y crois pas. Pour avoir confirmation, je me tourne tout de suite vers mon mari. Sa réponse est sans appel : « ben oui, tu ne le savais pas ? »
Eh bien non.
Non seulement je ne le savais pas, mais ça ne me plait pas, je veux être extravertie, moi !
Mais on ne choisit pas. C’est le différence entre ce que je suis et ce que je veux être.
Mais qui suis-je vraiment ?
C’est LA question pour mieux se connaître.
Au programme de cet épisode de mon défi de changement de vie :
📌Un test MBTI
📌Des clients qui rapportent
📌connaître ses valeurs et ses besoins
📌faire évoluer son activité en même temps que soi
📌les qualités de nos défauts
📌l’engrenage vertueux
Se connaître soi même et révéler son potentiel
Apprendre à se connaître soi même grâce au coaching
Depuis 2 mois, je me concentre sur ma formation de coach. Outre la plateforme en e-Learning et les démonstrations vidéo, la lecture est un outil incontournable de toute formation.
Un matin, au cours de ma lecture du moment, Le métier de Coach, de François, Delivré, j’aborde le chapitre des différentes théories qui permettent d’établir un profil psychologique de son client et je tombe sur le MBTI.
1. Une théorie pour se connaître soi même : le MBTI
Déterminer son profil MBTI
Le MBTI, issu de la pensée de Jung, est l’un des indicateurs psychologiques les plus utilisés dans le monde. Il se fonde sur la préférence d’un individu pour 4 dimensions psychiques :
-
- son attitude d’orientation de l’énergie, qui détermine s’il est plutôt introverti ou extraverti (I ou E)
- la façon dont il recueille l’information : sur ses sensations ou son intuition (S ou N)
- sa préférence en matière de prise de décision : par la pensée ou le sentiment (T ou F)
- son style de vie ou mode d’action : jugement ou perception (J ou P)
La combinaison de ces options permet ainsi de répertorier 16 types de personnalité sous forme de 4 lettres.
En 2015, à l’issue de ce fameux test de personnalité, mon « profil MBTI » est ISTJ, comme 11 à 13% de la population. Beaucoup plus d’hommes que de femmes ont ce profil (tiens tiens…). Même s’il y a des aspects qui ne me plaisent pas, je me retrouve dans la description de ce profil.
Oui, les ISTJ ont plein de qualités et de ressources, mais c’est aussi le cas des 15 autres profils 😄 De l’eau a coulé sous les ponts, et j’accepte maintenant très bien d’être introvertie.
Alors, certes, je n’aime pas les étiquettes, mais il y a un côté rassurant dans ce type d’indicateurs :
📑 16 profils différents = autant de raisons d’avoir des visions et des réactions différentes, cela explique bon nombre de choses dans nos relations quotidiennes, personnelles ou professionnelles, mésententes ou incompréhensions.
📑 D’autres personnes ont le même profil que moi : donc je ne suis pas la seule à penser ou réagir de cette façon.
📑 On peut avoir des profils différents et exercer le même métier. C’est ce que je constate lors d’un stage professionnel. Il n’y a donc pas qu’une seule manière d’exercer son métier.
Se servir du MBTI pour s’améliorer
Chaque type de personnalité a ainsi ses propres forces et difficultés. Les problématiques à traiter au quotidien, et également en coaching seront donc propres à chaque profil.
En tant que coach, en fonction du profil de la personne que j’ai en face de moi, j’aurai donc aussi à m’adapter.
Heureusement, nous ne sommes pas limité à notre profil MBTI. Nous pouvons chacun développer, à certaines étapes de notre vie adulte, des fonctions ou facettes refoulées. Une analyse plus poussée du profil, et des dominantes de chaque dimension permet de comprendre comment améliorer ou développer certains de ces aspects.
C’est ce que j’ai fait sur la dimension « énergie » depuis quelques années, en m’ouvrant plus aux autres notamment.
Au détour de cette fameuse lecture des approches psychologiques, je décide de repasser ce même test MBTI, quelques années après le premier.
Le résultat est identique : même si je suis moins introvertie, même si d’autres résultats ont bougé, j’ai toujours le même profil.
Conclusion : j’entreprends des changements, j’ évolue mais je reste profondément la même. Rassurant.
▶ Si vous cherchez un test pour apprendre à mieux se connaître, vous pouvez aller sur ce site et passer le test MBTI chez vous.
2. Se connaître soi même grâce à ses clients
Apprendre à se connaître soi même me semblait relever d’un réel travail d’introspection, de rencontres avec des thérapeutes pour comprendre son propre fonctionnement, avec des coachs pour enlever les freins et les blocages qui nous empêchent d’accéder au meilleur de nous-mêmes.
Je n’imaginais pas qu’apprendre à se connaître soi même pouvait émaner de personnes elles-mêmes en quête de leur propre identité.
C’est ce que je découvre au fil du coaching avec mes clients.
Au fur et à mesure des séances, j’acquière une compréhension des situations, mon esprit de diagnostic et d’analyse s’affine. Je réussis à repérer les problématiques cachées derrière la demande initiale de mes clients.
Tous les savoirs que j’ai collectés, dans cette toute jeune formation de coach, mais aussi tout au long de mes précédentes vies professionnelles, sont là. Je me rends compte que mes stages en gestion de conflits, les ateliers de manager, mon incursion de formatrice ont ancré en moi des concepts que j’approfondis et avec lesquels je jongle lors des séances. Je ne vais pas tous les citer, mais vous connaissez peut-être la Communication Non Violente, CNV de son petit nom ? Très souvent citée dans les formations professionnelles, trop peu appliquée dans notre quotidien…Promis, je vous en reparle bientôt.
Quel bonheur de se rendre compte que cette première vie professionnelle me sert aussi dans la deuxième !
Lorsqu’un coach reçoit un client en coaching, il l’accepte, inconditionnellement, avec son vécu, avec sa vision du monde, avec ses croyances. Accompagner des personnes qui ont justement une autre vision, d’autres croyances que les siennes permet un incroyable enrichissement au travers des échanges.
Je me découvre des qualités dont je n’avais pas conscience : réelle ouverture d’esprit, empathie, tolérance, intuition.
Conclusion : être à l’écoute des autres permet de se découvrir des qualités.
3. Ce que j’apprends de moi en suivant un coaching
Je bénéficie d’un troisième atout dans mon chemin vers la connaissance de soi : pendant ma formation, je me fais coacher. C’est un système vertueux : des coachs qui souhaitent devenir « master coach » bénéficient d’une formation gratuite en échange de missions de coaching des nouveaux élèves.
Je pensais que l’intérêt de suivre un coaching était d’une part d’être en position de coaché, avec tout ce que cela suppose en matière d’attentes, d’insatisfactions, parfois de frustration, d’exercices en séance ou en intersession. D’autre part, cela me permettait d’avancer vers mon objectif.
Mais je découvre que le coaching permet surtout de mieux se connaître soi même . Comme dans toute mission de coaching, pour que le coach puisse vous accompagner vers votre objectif personnel, il a besoin de vous connaître, de poser un diagnostic. Et il le fait en vous interrogeant, su vos valeurs, vos besoins, vos limites.
Connaître ses valeurs
Alors en tant que coachée, je fais un des exercices que je donne également à mes clients : déterminer ses valeurs, savoir ce qui est important pour nous.
Quel est l’intérêt de connaître ses valeurs ? Cela permet de comprendre certaines situations.
Je prends un exemple : mes 3 valeurs principales sont Liberté, Authenticité et Partage (pour cette dernière, elle est souvent en compétition avec Dépassement de soi) 😉
Lorsqu’on m’oblige ou qu’on souhaite m’obliger à agir sans que je le décide, je le vis très mal et j’ai déjà eu des réactions disproportionnées. Je comprends maintenant que c’est ma valeur Liberté qui était attaquée.
Si vous aussi vous souhaitez déterminer vos valeurs, vous trouverez ici une liste des principales valeurs personnelles qui vous permettront de les définir.
Prendre conscience de ses qualités et de ses défauts
Lors d’un coaching, définir ses valeurs n’est qu’une étape. Je vais ensuite en apprendre plus sur mes besoins (notamment avec la pyramide de Maslow, bien connue des managers), sur mes drivers et mes croyances.
Ainsi, lorsque j’épluche mes modes de fonctionnement, j’ai la confirmation que je suis une perfectionniste.
C’est très bien en soi, ce n’est pas un défaut, c’est plutôt une qualité. Je peux fournir un travail minutieux et soigné, travailler au moindre détail, c’est ce qui fait que j’obtiens un travail de qualité. Là où le perfectionnisme peut m’empoisonner la vie c’est lorsqu’il tourne à l’excès : quand je passe 3h à corriger la tournure d’une phrase ou à retoucher une image.
J’apprends donc à être « moins » perfectionniste et je garde en tête la phrase « j’ai le droit à l’erreur ».
Apprendre à poser ses limites
Le perfectionnisme pousse aussi à l’épuisement, je me rends compte que j’ai aussi besoin de repos.
J’ai donc appris à poser mes limites, sans quoi j’ai l’effet boomerang se manifeste directement par mon corps (voir l’épisode 2).
Je m’accorde ainsi plus souvent des pauses, j’applique la méthode Pomodoro, et je tiens un journal où je consigne mes objectifs et réalisations quotidiens.
Et ça paie ! Je viens de terminer mon mémoire de fin de formation, c’est d’ailleurs ce qui a retardé la publication de cet article… En route vers la certification de coach le mois prochain 🚀
Pourquoi chercher à se connaître soi même ? Un lien direct avec le blog
Au fur et à mesure que j’affine ma connaissance de moi-même, je constate que les sujet des articles que je choisis d’aborder dans mon blog évoluent eux aussi.
1. Se connaître soi même, c’est évoluer
J’ai choisi de lancer mon blog sur le bien-être, cela me semblait une évidence : être bien dans son corps et dans sa tête. Mais je m’aperçois que les sujets qui m’intéressent dorénavant sont liés au développement et à l’épanouissement personnel.
Le bien-être au sens large.
Je fais donc évoluer mon blog en même temps que j’évolue.
Un des angles de mon blog s’intéressait à la nutrition, aux questions de poids et d’alimentation. Cette problématique m’intéresse toujours, mais elle est réductrice.
Je m’explique :
S’intéresser à son poids (ou ses formes) est une étape, souvent nécessaire, dans la conscience de soi, mais il serait dommage de s’arrêter à une image de soi qui ne concernerait que l’apparence extérieure. Nous sommes bien plus qu’un physique.
Retrouver une bonne image de soi, c’est d’une part accepter son physique, avec ses qualités et ses défauts, mais aussi ses traits de caractère. Et pour s’apprécier, i faut déjà mieux se connaître.
Mon blog tend ainsi de plus en plus vers l’épanouissement personnel et la réalisation de soi.
La nutrition, l’activité physique et les médecines alternatives y auront toujours leur place, car elles font partie d’un mode de vie. Mais vous trouverez beaucoup plus de sujets pour vous accompagner sur le chemin de votre identité.
Conclusion : prendre conscience de son identité profonde permet de mieux orienter le sens qu’on donne à sa vie et à son activité professionnelle.
2. Mieux se connaître pour développer un potentiel inexploité
Là, c’est le moment de vous parler des vidéos et de la chaîne YouTube que j’ai lancée.
Dans l’épisode précédent, je vous indiquais que faire des vidéos était une étape importante de ma formation en blogging. La chaine youtube est désormais ouverte, avec 3 vidéos au compteur. Je progresse à chaque vidéo et on voit bien la différence entre la première en juillet et la troisième en septembre ;-
Et comme j’ai lâché du lest sur mon côté perfectionniste, j’accepte les défauts de ces vidéos.
Dans la première, je vous faisais une démo de la technique de bonhommes allumettes. J’ai d’ailleurs eu le retour de 3 personnes qui l’ont appliquée et qui ont vu les résultats quelque temps après…
La deuxième vidéo faisait un bilan de mon défi anti-stress. Pas de nouvelle technique depuis le mois dernier, mais 2 nouvelles techniques à venir d’ici le prochain bilan car j’ai décidé d’organiser moi même un atelier collectif, à découvrir dans le blog d’ici peu…
Puis vient la troisième vidéo, les 10 conseils anti-déprime de la rentrée, où j’ai pris beaucoup de plaisir à la fois dans l’écriture du scenario (oui, je viens de découvrir ça grâce aux tutos sur la stratégie vidéo d’Olivier Juprelle), dans le tournage des différentes séquences, mais aussi lors du montage avec l’intégration d’images, de sons, de gifs, etc…
Vous savez quoi ? J’ai mis à profit des talents que j’exploitais peu : mes compétences en montage de films de vacances 😂
J’ai ensuite particulièrement savouré les retours de mon audience, de vive voix, en réponse à ma newsletter ou dans les commentaires sur youtube.
Pourquoi autant de plaisir dans cette vidéo ? Car beaucoup de mes valeurs s’y retrouvent : authenticité, partage, dépassement de soi (et une touche de liberté et d’humour…).
Et je me rends compte que la vidéo me plait beaucoup : un besoin de reconnaissance à assouvir peut-être ? Tiens, encore un nouvel aspect de moi que je ne connaissais pas…
Conclusion : prendre conscience des besoins qu’on assouvit dans notre quotidien, l’accepter et en tirer le meilleur, pour soi et pour les autres
Bon, c’est bien beau, mais le blog stagne toujours en termes de trafic.
Le mois d’août n’est jamais fantastique pour le blogging. J’ai réduit mon activité mais ai tout de même publié 4 articles. Au total : 41 articles sur 7 mois de blog.
Je suis réaliste : je ne peux pas m’investir à fond sur 2 formations en même temps. Car je ne sais pas faire les choses sans m’investir à fond, je suis comme ça. Tout ce que je fais me demande du temps et de la concentration. C’est un point que je dois travailler, mais en attendant je m’adapte : j’ai mis en stand-by la formation blogging et je me suis dernièrement beaucoup plus investie sur la formation de coach.
Les résultats du blog s’en ressentent.
Mais il y a tout de même de très bons signes :
- Tout d’abord, le nombre de visiteurs en provenance des recherches « Google » est passé de 14.4% à 32.6 %. Très très bon signe : Google commence à référencer mon blog et je remonte dans les résultats de recherche
- Ensuite, ma liste d’abonnés continue d’augmenter, pas de 300% par mois comme au mois de juin, mais en pente douce. En bonne runneuse, je la vois plutôt comme une côte facile à courir 😊
Malgré ces bons signes, mon cerveau ne peut s’empêcher de se questionner : est-ce que ce que je publie intéresse les lecteurs, est-ce que je choisis les bons sujets, les bons titres…
Un jour où je me pose trop de questions, je tombe, lors de ma lecture matinale, sur une phrase qui m’éclaire pour la journée : « tu nages tellement dans ton livre que tu en oublies tes connaissances; sache que nombreux seront ceux qui n’y connaissent vraiment rien et que tu n’écris pas seulement pour ceux qui savent : alors courage, je suis sûr que tu es excellent si tu vas au plus simple, alors n’oublie pas de faire simplet et de rappeler les choses simples« , Le Métier de coach, François Delivré.
Conclusion : utiliser ses défauts et se fier à son intuition.
4. Mieux se comprendre pour mieux comprendre les autres
Au fur et à mesure que ces facettes de moi-même se révèlent, des « aspects » enfouis, j’ai envie d’accompagner les autres personnes à accéder à cette connaissance d’eux-mêmes, car mieux se connaître soi même c’est aussi permettre aux « autres » de mieux nous connaître, de renforcer sa confiance en soi, d’évoluer vers son identité profonde et … de se réaliser.
Il vous est déjà arrivé de vous dire « mais pourquoi j’ai fait ça ? je ne comprends même pas pourquoi je l’ai fait, comment les autres pourraient ils me comprendre ?
Connaître ses défauts et ses faiblesses permet de mieux les accepter, et aussi d’accepter ceux des autres.
Savoir que je suis perfectionniste m’a permis de comprendre que j’étais exigeante avec moi-même mais aussi avec les autres. Or, toutes les personnes ne sont pas perfectionnistes, et elles le vivent très bien. Les non-perfectionnistes se demandent même comment on peut arriver à travailler autant sur une tâche pour un résultat finalement peu visible.
Mieux se connaître, c’est aussi s’accepter : savoir ce qui nous plait, ne nous plait pas, nous convient ou pas. Et décider de faire évoluer les choses. Quand notre regard sur nous change, celui des autres change aussi. Imaginez si vous arrivez à vous porter un regard plus bienveillant ce que cela donnera si ce même regard se porte sur d’autres.
Car lorsque vous commencez à faire évoluer les choses à l’intérieur, vous enclenchez l’engrenage : vous allez aussi faire bouger les personnes autour de vous. C’est ce que je constate directement dans mon évolution et celle de mes enfants. Si je m’accepte telle que je suis, je les accepte eux aussi différents de moi, et je les aide ainsi à s’accepter tels qu’ils sont.
Donner aux autres le meilleur de nous-mêmes et provoquer l’inverse.
Se connaître soi même : une quête riche de sens
Lorsqu’on en vient à s’interroger sur sa vie, ses désirs, ses aspirations, son envie de changement, on passe forcément par une phase de questionnement de notre personnalité : qui sommes-nous réellement ?
Lorsqu’on a envie d’en savoir plus sur nous-mêmes, de mieux se comprendre, vient la question « mais comment se connaître soi-même ? »
Je vous ai fait découvrir un chemin ondulant et tellement enrichissant pour parvenir à la connaissance de soi :
-
- Passer un test de personnalité et s’en servir pour évoluer,
- Se mettre à l’écoute des autres pour en découvrir plus sur soi,
- Se faire accompagner pour connaître ses valeurs, ses besoins, ses forces et ses faiblesses et en tirer le meilleur
Et je vous ai dévoilé pourquoi une meilleure connaissance de soi est selon moi indispensable :
-
- se connaître soi même permet de donner un sens à sa vie et à son activité professionnelle,
- Mieux se connaître permet de révéler son potentiel et transformer ses défauts en qualités
- Le chemin de la connaissance de soi pousse ceux qui nous entourent à mieux s’accepter à leur tour
La connaissance de soi est en fait un acte d’altruisme et de générosité.
Dites-moi dans les commentaires, avez-vous fait la rencontre de votre identité profonde ??
Nelson Mandela
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Coucou Caro,
C’est pas sans une certain appréhension que j’ai fais le test MBTI …
Bien sûr j’ai été surprise par certain très de caractère, mais dans l’ensemble je me suis reconnue.
Et en fait ça fait du bien de se rappeler qui on est exactement.
Merci pour ce partage encore une fois.
Bises
on est parfois à cheval entre deux profils, si tu as besoin, on peut débriefer ensemble 😊 pourquoi tu appréhendais ?
très bon conseils, c’est en se connaissant bien soi-même qu’on peut réellement avancer.
C’est vrai que le perfectionnisme est à mettre de coté quand on veut se lancer et s’améliorer.
Difficile de mettre complètement le perfectionnisme côté quand l est présent depuis si longtemps, on peut lui donner moins d’importance avec de petites phrases qui nous autorisent à être « moins parfaits » 😊
Connaitre son profil MBTI est une bonne base mais effectivement il faut relativiser.
Nombreuses sont les personnalités médiatiques qui en réalité sont introverties. Ça ne les empêchent pas de se produire sur scène devant un large public.
Comme quoi, le contexte ou l’environnement joue aussi un rôle important.
Merci pour ce podcast. La voix est très bien.
merci pour ton commentaire Luc, j’ai de l’avenir sur scène alors 😊
Mais c’est pas mal du tout, ces articles-bilan, je devrais y songer ! 😉 Très intéressant, Caroline, merci ! Mais pourquoi être aussi dépitée d’être Introvertie ? 😂 De mon côté, j’oscille entre ISTJ et ESTJ (50% chacun des résultats de mes 4 tests MBTI je crois). Il parait qu’on ne change plus de type à l’âge adulte, mais dans mon cas je vire au « E ». Il y a donc peut-être de l’espoir si tu y tiens tellement ! 😉
ça c’était avant, avant que je comprenne qu’il n’y avait aucun mal à être introvertie ! C’était lié à l’idée que je m’en faisais… Moi aussi, je tends de plus en plus vers le E, mais je n’ai pas basculé, je suis bel et bien introvertie et ça me va maintenant ! e, effet, je crois qu’on ne change plus de type lorsqu’on est adulte.
Beau article, ça fait plaisir de voir ta progression, Brazo.
Le MBTI, ça m’aide beaucoup quand on faire une comparison avec celui du conjoint et on découvre comment faire pour mieux accepter l’autre et aussi comprendre le fonctionnement de notre couple.
Prend le temps en couple, pour lire les résultats de l’autre analyse de MBTI.
Dit moi ce que tu pense de ça?
Merci encore
Rodney
bonjour Rodney, c’est une très bonne idée, pour que chacun dans le couple se rende compte des différences de l’autre , cela amène d’énormes clés de compréhension !